Tous les témoignages mettent en cause les « Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localisé » :
Sylvianne est dans une école du PIAL Callac/Corlay/Rostrenen/St-Nicolas-du-Pelem. Comme de nombreux AESH, elle cumule les boulots pour pouvoir vivre (cantine, ménage) dans l’école où elle travaille. Se retrouver expédiée sur un des 48 autres établissements du PIAL la priverait d’une grande part de ses maigres revenus. La commune la plus éloignée de son école est à 51 km, 45 minutes de route. Le faible salaire qui (...)