Pas plus qu’il n’est imaginable que les personnels périscolaires, ou les parents, ou encore les élus d’une commune décident où les élèves seront placés dans une classe,
Le SNUDI-FO 22 a écrit au directeur académique pour demander "que des consignes soient adressées dans les plus brefs délais afin de mettre fin à ce mélange du scolaire et du périscolaire, à cette confusion des compétences des mairies et de l’Éducation nationale. Les directeurs, déjà en très lourde surcharge de travail, ont bien autres choses à faire pour tenter de faire fonctionner leur école sans les postes d’AESH manquants, sans les postes nécessaires pour faire face aux conséquences scolaires et sanitaires du confinement, sans le temps de décharge suffisant, sans l’aide administrative nécessaire."